Histoire du château

En l'an 1686, un homme du nom de Jean-Baptiste Jodelet, seigneur de Vaucouleurs, exerçant les fonctions d'intendant sous le règne de Louis XIV, prit possession d'une étendue de terres de 50 hectares le long de la rivière Canavère, à Puget-sur-Argens. Dans cette terre fertile, il planta des vignes et érigea une robuste ferme vinicole, aujourd'hui connue comme la "cave" du château.
C'est son fils, le jeune Honoré, né en 1687 à Fréjus, qui hérita de ce domaine après la disparition de son père en 1697.


Au cours du XVIIIe siècle, cette propriété changea de mains et passa d'abord à Joseph Brun, un homme de la région de Fréjus, vers 1730, puis à son fils Jean Brun par le biais d'un mariage en 1755.


En l'an 1772, un notable du nom de Sieur Nicolas Rey, éminent maire de la ville et bourgeois influent de Puget, ainsi que propriétaire des terres voisines, décida d'acquérir ce domaine pour y édifier une majestueuse bastide, perchée sur un plateau rocheux, le point culminant de la parcelle. La construction de la bastide dura 3 ans et fût terminée en 1775.

À l'époque de la famille Rey, des soirées élégantes étaient fréquemment organisées en compagnie de personnalités illustres, propulsant la renommée du domaine dans tout le Var. L'histoire raconte que Napoléon Bonaparte, à son retour d'Égypte en octobre 1799, fit de cet endroit sa première halte sur la terre française, avant de remonter vers Paris.


Après la période faste de la famille Rey, le domaine passa aux mains de la famille Court, à la suite du mariage de Joseph Court avec Magdeleine-Sophie Rey, la petite-fille de Nicolas Rey. La bastide prit le nom de "Villa Sophie", une inscription qui perdure sur l'arche de la porte principale du château.
Ce fut au cours du milieu du XIXe siècle, dans une période d'extravagance, que la bastide se para d'une allure médiévale avec la construction de deux tours crénelées.

En l'an 1686, un homme du nom de Jean-Baptiste Jodelet, seigneur de Vaucouleurs, exerçant les fonctions d'intendant sous le règne de Louis XIV, prit possession d'une étendue de terres de 50 hectares le long de la rivière Canavère, à Puget-sur-Argens. Dans cette terre fertile, il planta des vignes et érigea une robuste ferme vinicole, aujourd'hui connue comme la "cave" du château.
C'est son fils, le jeune Honoré, né en 1687 à Fréjus, qui hérita de ce domaine après la disparition de son père en 1697.


Au cours du XVIIIe siècle, cette propriété changea de mains et passa d'abord à Joseph Brun, un homme de la région de Fréjus, vers 1730, puis à son fils Jean Brun par le biais d'un mariage en 1755.


En l'an 1772, un notable du nom de Sieur Nicolas Rey, éminent maire de la ville et bourgeois influent de Puget, ainsi que propriétaire des terres voisines, décida d'acquérir ce domaine pour y édifier une majestueuse bastide, perchée sur un plateau rocheux, le point culminant de la parcelle. La construction de la bastide dura 3 ans et fût terminée en 1775.

À l'époque de la famille Rey, des soirées élégantes étaient fréquemment organisées en compagnie de personnalités illustres, propulsant la renommée du domaine dans tout le Var. L'histoire raconte que Napoléon Bonaparte, à son retour d'Égypte en octobre 1799, fit de cet endroit sa première halte sur la terre française, avant de remonter vers Paris.


Après la période faste de la famille Rey, le domaine passa aux mains de la famille Court, à la suite du mariage de Joseph Court avec Magdeleine-Sophie Rey, la petite-fille de Nicolas Rey. La bastide prit le nom de "Villa Sophie", une inscription qui perdure sur l'arche de la porte principale du château.
Ce fut au cours du milieu du XIXe siècle, dans une période d'extravagance, que la bastide se para d'une allure médiévale avec la construction de deux tours crénelées.

En l'an 1686, un homme du nom de Jean-Baptiste Jodelet, seigneur de Vaucouleurs, exerçant les fonctions d'intendant sous le règne de Louis XIV, prit possession d'une étendue de terres de 50 hectares le long de la rivière Canavère, à Puget-sur-Argens. Dans cette terre fertile, il planta des vignes et érigea une robuste ferme vinicole, aujourd'hui connue comme la "cave" du château.
C'est son fils, le jeune Honoré, né en 1687 à Fréjus, qui hérita de ce domaine après la disparition de son père en 1697.


Au cours du XVIIIe siècle, cette propriété changea de mains et passa d'abord à Joseph Brun, un homme de la région de Fréjus, vers 1730, puis à son fils Jean Brun par le biais d'un mariage en 1755.


En l'an 1772, un notable du nom de Sieur Nicolas Rey, éminent maire de la ville et bourgeois influent de Puget, ainsi que propriétaire des terres voisines, décida d'acquérir ce domaine pour y édifier une majestueuse bastide, perchée sur un plateau rocheux, le point culminant de la parcelle. La construction de la bastide dura 3 ans et fût terminée en 1775.

À l'époque de la famille Rey, des soirées élégantes étaient fréquemment organisées en compagnie de personnalités illustres, propulsant la renommée du domaine dans tout le Var. L'histoire raconte que Napoléon Bonaparte, à son retour d'Égypte en octobre 1799, fit de cet endroit sa première halte sur la terre française, avant de remonter vers Paris.


Après la période faste de la famille Rey, le domaine passa aux mains de la famille Court, à la suite du mariage de Joseph Court avec Magdeleine-Sophie Rey, la petite-fille de Nicolas Rey. La bastide prit le nom de "Villa Sophie", une inscription qui perdure sur l'arche de la porte principale du château.
Ce fut au cours du milieu du XIXe siècle, dans une période d'extravagance, que la bastide se para d'une allure médiévale avec la construction de deux tours crénelées.

Le château en 1871 lors d’une festivité

Le château en 1871 lors d’une festivité

Vers la fin du XIXe siècle, l'invasion du phylloxéra fit rage en France. Cet insecte, originaire des États-Unis, infesta et tua tous les vignobles français en quelques décennies. Le vignoble de Vaucouleurs ne fut pas épargné, et Joseph Court dut trouver un moyen de remplacer ces vignes perdues. Il eu alors l'idée de construire un champ de courses, créant ainsi une nouvelle source de revenus et offrant une distraction bienvenue aux habitants de la région.


Le 3 juin 1883, l'hippodrome de Vaucouleurs fut inauguré, devenant l'un des plus vastes et des plus somptueux du Midi. "Ce jour-là plus de 5000 visiteurs affluèrent au Puget", comme évoqué le 7 juin 1883 dans les pages du journal Le Var.
Le « tout Paris » de la côte d’Azur va venir jouer aux courses et festoyer au Domaine qui pour cette belle société se devait de prendre un nom plus adapté que « Villa Sophie », ce fut donc celui de « Château de Vaucouleurs ».

Quelques années plus tard, le pays surmonta la crise du phylloxéra en utilisant des porte-greffes provenant de vignes américaines naturellement résistantes à cet insecte ravageur. L'hippodrome, devenu difficile à gérer, déclina rapidement, laissant les nouvelles vignes franco-américaines reprendre possession des terres, mais le nom de "Château de Vaucouleurs" resta gravé sur les étiquettes des vins produits.

Le château changea ensuite de propriétaire en 1892, lorsque Monsieur Robillis en fit l'acquisition, embellissant les alentours du château d'une terrasse et d'un jardin à la française. En 1928, Monsieur Zaag en prit possession, suivi par Monsieur Sénéchal en 1933.

Vers la fin du XIXe siècle, l'invasion du phylloxéra fit rage en France. Cet insecte, originaire des États-Unis, infesta et tua tous les vignobles français en quelques décennies. Le vignoble de Vaucouleurs ne fut pas épargné, et Joseph Court dut trouver un moyen de remplacer ces vignes perdues. Il eu alors l'idée de construire un champ de courses, créant ainsi une nouvelle source de revenus et offrant une distraction bienvenue aux habitants de la région.


Le 3 juin 1883, l'hippodrome de Vaucouleurs fut inauguré, devenant l'un des plus vastes et des plus somptueux du Midi. "Ce jour-là plus de 5000 visiteurs affluèrent au Puget", comme évoqué le 7 juin 1883 dans les pages du journal Le Var.
Le « tout Paris » de la côte d’Azur va venir jouer aux courses et festoyer au Domaine qui pour cette belle société se devait de prendre un nom plus adapté que « Villa Sophie », ce fut donc celui de « Château de Vaucouleurs ».

Quelques années plus tard, le pays surmonta la crise du phylloxéra en utilisant des porte-greffes provenant de vignes américaines naturellement résistantes à cet insecte ravageur. L'hippodrome, devenu difficile à gérer, déclina rapidement, laissant les nouvelles vignes franco-américaines reprendre possession des terres, mais le nom de "Château de Vaucouleurs" resta gravé sur les étiquettes des vins produits.

Le château changea ensuite de propriétaire en 1892, lorsque Monsieur Robillis en fit l'acquisition, embellissant les alentours du château d'une terrasse et d'un jardin à la française. En 1928, Monsieur Zaag en prit possession, suivi par Monsieur Sénéchal en 1933.

Vers la fin du XIXe siècle, l'invasion du phylloxéra fit rage en France. Cet insecte, originaire des États-Unis, infesta et tua tous les vignobles français en quelques décennies. Le vignoble de Vaucouleurs ne fut pas épargné, et Joseph Court dut trouver un moyen de remplacer ces vignes perdues. Il eu alors l'idée de construire un champ de courses, créant ainsi une nouvelle source de revenus et offrant une distraction bienvenue aux habitants de la région.


Le 3 juin 1883, l'hippodrome de Vaucouleurs fut inauguré, devenant l'un des plus vastes et des plus somptueux du Midi. "Ce jour-là plus de 5000 visiteurs affluèrent au Puget", comme évoqué le 7 juin 1883 dans les pages du journal Le Var.
Le « tout Paris » de la côte d’Azur va venir jouer aux courses et festoyer au Domaine qui pour cette belle société se devait de prendre un nom plus adapté que « Villa Sophie », ce fut donc celui de « Château de Vaucouleurs ».

Quelques années plus tard, le pays surmonta la crise du phylloxéra en utilisant des porte-greffes provenant de vignes américaines naturellement résistantes à cet insecte ravageur. L'hippodrome, devenu difficile à gérer, déclina rapidement, laissant les nouvelles vignes franco-américaines reprendre possession des terres, mais le nom de "Château de Vaucouleurs" resta gravé sur les étiquettes des vins produits.

Le château changea ensuite de propriétaire en 1892, lorsque Monsieur Robillis en fit l'acquisition, embellissant les alentours du château d'une terrasse et d'un jardin à la française. En 1928, Monsieur Zaag en prit possession, suivi par Monsieur Sénéchal en 1933.

Construction de la terrasse et aménagement du jardin en 1907

Construction de la terrasse et aménagement du jardin en 1907

Ce n'est qu'en 1943 que le domaine entra dans le patrimoine de la famille Le Bigot. Monsieur Guillaume Le Bigot, haut fonctionnaire et futur contrôleur général de la Marine française, résidant entre Paris et Toulon, acquit ce domaine en cadeau de mariage pour sa femme.

Cependant, à peine installés, ils durent faire face à la réquisition du château par les militaires italiens, puis par les Allemands. Ces derniers prirent possession du rez-de-chaussée et de l'étage, laissant seulement une chambre et une petite cuisine à la propriétaire et à ses enfants.

Le maréchal Rommel en personne se rendit à Vaucouleurs. Sa présence était dictée par des considérations stratégiques, avec le projet d'installer des canons sur les tours du château. Heureusement, cela s'avéra impossible en raison de l'accès par une verrière et un escalier, ainsi que de la forme des tours, dotées de toits en pente. Les canons furent donc installés sur la partie la plus élevée du domaine, pointés vers la mer pour contrer toute tentative de débarquement des troupes alliées.

À cette époque, les Allemands étaient anxieux pour leur avenir et demandèrent même à Mme Le Bigot de suivre les actualités à la radio pour être informée des événements.
Peu avant le débarquement, ils se retirèrent dans les bois, craignant les représailles des Américains, qui leur étaient décrits comme des sauvages torturant les prisonniers avant de les exécuter.

À la fin de la guerre, les troupes américaines de libération furent chaleureusement accueillies et établirent un campement de tentes sur l'ensemble du domaine. Il faut avouer que leur présence n'était pas aussi discrète que celle des occupants précédents, car ils étaient bruyants et appréciaient la boisson. Toutefois, leurs épreuves endurées plaidaient en leur faveur, et des circonstances atténuantes étaient accordées.

Bien après la fin de la guerre, d'anciens militaires allemands et italiens et leurs enfants revinrent au château.

Monsieur Le Bigot, maire de Puget-sur-Argens de 1959 à 1977, fût très investi dans la politique locale et nationale et marqua de son empreinte la région.

Depuis sa construction jusqu'à nos jours, le château de Vaucouleurs a brillé par le prestige de ses visiteurs : Napoléon Bonaparte, le Maréchal Rommel, le Général Eisenhower, futur Président des États-Unis, le Commandant Cousteau, ou encore le Général Charles de Gaulle, qui y séjourna à plusieurs reprises.

Ce domaine est devenu, au fil des huit dernières décennies, un véritable château de famille, accueillant chaque été les enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants de Monsieur et Madame Le Bigot pour des séjours plus ou moins longs.

Depuis le milieu des années 2010, ces derniers souhaitant entretenir cet héritage chargé d'histoire, proposent la privatisation du lieu pour des séjours et des mariages, qui rythment désormais, à chacun sa façon, la vie du château au printemps, en été et en automne.

Ce n'est qu'en 1943 que le domaine entra dans le patrimoine de la famille Le Bigot. Monsieur Guillaume Le Bigot, haut fonctionnaire et futur contrôleur général de la Marine française, résidant entre Paris et Toulon, acquit ce domaine en cadeau de mariage pour sa femme.

Cependant, à peine installés, ils durent faire face à la réquisition du château par les militaires italiens, puis par les Allemands. Ces derniers prirent possession du rez-de-chaussée et de l'étage, laissant seulement une chambre et une petite cuisine à la propriétaire et à ses enfants.

Le maréchal Rommel en personne se rendit à Vaucouleurs. Sa présence était dictée par des considérations stratégiques, avec le projet d'installer des canons sur les tours du château. Heureusement, cela s'avéra impossible en raison de l'accès par une verrière et un escalier, ainsi que de la forme des tours, dotées de toits en pente. Les canons furent donc installés sur la partie la plus élevée du domaine, pointés vers la mer pour contrer toute tentative de débarquement des troupes alliées.

À cette époque, les Allemands étaient anxieux pour leur avenir et demandèrent même à Mme Le Bigot de suivre les actualités à la radio pour être informée des événements.
Peu avant le débarquement, ils se retirèrent dans les bois, craignant les représailles des Américains, qui leur étaient décrits comme des sauvages torturant les prisonniers avant de les exécuter.

À la fin de la guerre, les troupes américaines de libération furent chaleureusement accueillies et établirent un campement de tentes sur l'ensemble du domaine. Il faut avouer que leur présence n'était pas aussi discrète que celle des occupants précédents, car ils étaient bruyants et appréciaient la boisson. Toutefois, leurs épreuves endurées plaidaient en leur faveur, et des circonstances atténuantes étaient accordées.

Bien après la fin de la guerre, d'anciens militaires allemands et italiens et leurs enfants revinrent au château.

Monsieur Le Bigot, maire de Puget-sur-Argens de 1959 à 1977, fût très investi dans la politique locale et nationale et marqua de son empreinte la région.

Depuis sa construction jusqu'à nos jours, le château de Vaucouleurs a brillé par le prestige de ses visiteurs : Napoléon Bonaparte, le Maréchal Rommel, le Général Eisenhower, futur Président des États-Unis, le Commandant Cousteau, ou encore le Général Charles de Gaulle, qui y séjourna à plusieurs reprises.

Ce domaine est devenu, au fil des huit dernières décennies, un véritable château de famille, accueillant chaque été les enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants de Monsieur et Madame Le Bigot pour des séjours plus ou moins longs.

Depuis le milieu des années 2010, ces derniers souhaitant entretenir cet héritage chargé d'histoire, proposent la privatisation du lieu pour des séjours et des mariages, qui rythment désormais, à chacun sa façon, la vie du château au printemps, en été et en automne.

Ce n'est qu'en 1943 que le domaine entra dans le patrimoine de la famille Le Bigot. Monsieur Guillaume Le Bigot, haut fonctionnaire et futur contrôleur général de la Marine française, résidant entre Paris et Toulon, acquit ce domaine en cadeau de mariage pour sa femme.

Cependant, à peine installés, ils durent faire face à la réquisition du château par les militaires italiens, puis par les Allemands. Ces derniers prirent possession du rez-de-chaussée et de l'étage, laissant seulement une chambre et une petite cuisine à la propriétaire et à ses enfants.

Le maréchal Rommel en personne se rendit à Vaucouleurs. Sa présence était dictée par des considérations stratégiques, avec le projet d'installer des canons sur les tours du château. Heureusement, cela s'avéra impossible en raison de l'accès par une verrière et un escalier, ainsi que de la forme des tours, dotées de toits en pente. Les canons furent donc installés sur la partie la plus élevée du domaine, pointés vers la mer pour contrer toute tentative de débarquement des troupes alliées.

À cette époque, les Allemands étaient anxieux pour leur avenir et demandèrent même à Mme Le Bigot de suivre les actualités à la radio pour être informée des événements.
Peu avant le débarquement, ils se retirèrent dans les bois, craignant les représailles des Américains, qui leur étaient décrits comme des sauvages torturant les prisonniers avant de les exécuter.

À la fin de la guerre, les troupes américaines de libération furent chaleureusement accueillies et établirent un campement de tentes sur l'ensemble du domaine. Il faut avouer que leur présence n'était pas aussi discrète que celle des occupants précédents, car ils étaient bruyants et appréciaient la boisson. Toutefois, leurs épreuves endurées plaidaient en leur faveur, et des circonstances atténuantes étaient accordées.

Bien après la fin de la guerre, d'anciens militaires allemands et italiens et leurs enfants revinrent au château.

Monsieur Le Bigot, maire de Puget-sur-Argens de 1959 à 1977, fût très investi dans la politique locale et nationale et marqua de son empreinte la région.

Depuis sa construction jusqu'à nos jours, le château de Vaucouleurs a brillé par le prestige de ses visiteurs : Napoléon Bonaparte, le Maréchal Rommel, le Général Eisenhower, futur Président des États-Unis, le Commandant Cousteau, ou encore le Général Charles de Gaulle, qui y séjourna à plusieurs reprises.

Ce domaine est devenu, au fil des huit dernières décennies, un véritable château de famille, accueillant chaque été les enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants de Monsieur et Madame Le Bigot pour des séjours plus ou moins longs.

Depuis le milieu des années 2010, ces derniers souhaitant entretenir cet héritage chargé d'histoire, proposent la privatisation du lieu pour des séjours et des mariages, qui rythment désormais, à chacun sa façon, la vie du château au printemps, en été et en automne.